Dimanche 28 janvier 2024

Bien que certaines et certains d’entre nous se soient revus depuis le début de l’année, c’était la traditionnelle journée retrouvailles. Ça s’est passé à Saint-Germain dans le garage des Jonac, et il y avait du monde, surtout des filles voulant tout savoir de l’art de réparer un vélo sans l’aide des mecs.

Répondaient à l’appel : Cécile, Chrystèle, Frédérique, Théa, Olivier P, Thierry et bien sur Serge et ma pomme. La présidente s’occupa de l’intendance histoire de réchauffer tout ce beau monde.

Ça démarre fort le matin avec l’atelier mécanique organisé de main de maitre par notre expert ès-cycles Serge, le garage devient une annexe de l’atelier Décathlon.

Dans un élan de générosité dont elle est familière Théa avait invité deux copines, Juliette et Doriane, histoire de profiter de la leçon. En fait on s’est beaucoup plus occupés des vélos des “copines” que de ceux des asébistes !

Bon, ça fera peut-être deux adhérentes de plus.

Normalement la réparation de crevaison ne devrait plus avoir de secret pour ces dames, du moins celles présentes à l’atelier.

Le pique-nique est pris dans la cuisine histoire de se réchauffer un peu avant d’attaquer la seconde partie du programme, un parcours de 50 bornes concocté par votre serviteur.

Pour ne pas faillir à la tradition culturelle des parcours on découvre : le lavoir de Saint-Germain, la mairie et le pré des anglais (il y a dans ce village un cimetière où sont enterrés des soldats anglais victimes de la première guerre mondiale), le grand dépôt d’autos et sa forêt de panneaux solaires à Quincieux, Trévoux ancienne capitale de Franc lyonnais avec tous ses beaux monuments et son histoire chargée.

Juliette et Olivier nous quittent ici pour rejoindre Saint Germain par les bords de Saône et Neuville et le reste de la troupe attaque la montée sur le plateau de la Dombes par Sainte-Euphémie et Misérieux.

Au loin on aperçoit le toit vert de la basilique d’Ars avant d’arriver à Ambérieux-en-Dombes. Une petite collation au pied du château, en briques évidemment, histoire d’affronter au retour le vent (pas très fort) de face. Heureusement ça descend plutôt.

Comme on passe à Rancé arrêt obligatoire pour apercevoir la fameuse pierre, bloc erratique de granit apporté par les glaciers venus des Alpes il y a environ 30 000 ans.

Après une jolie descente sur Reyrieux on rejoint la voie bleue des bords de Saône fort fréquentée par les promeneurs en ce beau dimanche ensoleillé.

Tout ça nous amène à Neuville où on se débrouille pour perdre Cécile. Puis c’est Théa qu’on perdra dans Saint-Germain. La fatigue sans doute, il était temps qu’on arrive !

Une gentille collation offerte par la présidente conclut cette belle journée.

Des avis reçus il semble que tout le monde ait été content de sa journée.

Robert JONAC